Tuesday, January 28, 2014
Haiti accordera des extensions fiscales échelonnées sur 20 ans à des entreprises touristiques voulant investir en Haiti (article en espagnol)
Saturday, January 25, 2014
Haitian PM Laurent Lamothe pursues investors at Davos
Saturday, January 18, 2014
Ministro de Agricultura aclara que la veda de Haití sobre huevos y pollos está vigente
Ministro de Agricultura aclara que la veda de Haití sobre huevos y pollos está vigente
7DIAS.COM.DOAGRICULTURA17 ENE 2014, 5:12 PM
(Le ministre dominicain de l'Agriculture a précisé que l'interdiction des oeufs et des poulets par Haïti est [toujours] en effet)
Luis Ramón Rodríguez, ministro de Agricultura
SANTO DOMINGO (R.Dominicana).- Sin admitir error alguno en su declaración sobre la supuesta reanudación de las exportaciones de huevo y pollo hacia Haití, el ministro de Agricultura dominicano, Luis Ramón Rodríguez, informó hoy que “técnicamente” se mantenía la veda contra estos productos criollos.
El funcionario reaccionó luego de que una fuente del gobierno haitiano atribuyera la versión a un interés mediático, al señalar que “el anuncio de la reanudación de las exportaciones está destinado al consumo de la opinión pública dominicana”, como publicara 7dias.com.do
Dice a través de la nota que luego de esa visita, una misión técnica de Haití vino a la República Dominicana y que una parte de sus integrantes permaneció varios días colaborando con las autoridades nacionales.
Luego de que también el ministro de Industria y Comercio, José del Castillo Saviñón, expresara su desconocimiento sobre el levantamiento de la veda por parte de Haití, el ministro Rodríguez dice a través de una nota de prensa que “técnicamente la veda se mantiene, mientras trabajamos en la certificación de granjas”.
Ahí mismo añade que la agenda de trabajo se inició dos semanas después que una comisión de funcionarios dominicanos visitara a Puerto Príncipe a mediado de junio del 2013.
Indica que el país avanza en la certificación de granjas de pollo y huevos, “como parte del proceso para reanudar oficialmente las exportaciones avícolas a Haití o a cualquier otro mercado internacional”.
De acuerdo con Rodríguez la meta de este año es acreditar la mayor cantidad de planteles posibles, diez de los cuales serán autorizados en los próximos días, como paso previo para que el país pueda vender carne blanca.
Sobre las negociaciones con las autoridades haitianas, aclaró que el protocolo sanitario, preparado por técnicos haitianos y dominicanos, forma parte del paquete de temas que se discute en las conversaciones bilaterales con el vecino país.
Dice a través de la nota que luego de esa visita, una misión técnica de Haití vino a la República Dominicana y que una parte de sus integrantes permaneció varios días colaborando con las autoridades nacionales.
Explicó que la comisión del vecino país pasó varios días trabajando con los técnicos dominicanos y visitando las granjas avícolas dominicanas.
“Hemos tenido un intercambio de documentos que finalmente están listos para ser firmados”, expresó el ministro de Agricultura.
Indicó que el protocolo sanitario establece el tipo y las condiciones de inocuidad de las granjas para la exportación de pollos y huevos.
“Luego de la firma del protocolo sanitario consensuado, la República Dominicana podrá exportar huevos y pollos hacia Haití, siempre y cuando estos procedan de granjas certificadas de estar libre de influenza aviar”, dijo el ministro al tiempo de aclarar que el país nunca ha tenido esa enfermedad.
Fuente:dias.com.do
Thursday, January 16, 2014
Haiti-Reconstruction Post-séisme: des mesures adéquates contre les séismes en Haiti
RD reanudará exportación de pollo y huevo hacia Haití, informa el Ministerio de Agricultura
Wednesday, January 15, 2014
Haiti-Reconstruction post séisme: De l'intégration des personnes handicappées
Reconstruction (Réflexions en ce mardi 14 janvier 2014)
INTEGRATION DES PERSONNES HANDICAPEES
Par Régine Magloire Sainvilus
200 000 enfants, au minimum, étaient affectés par un handicap mental ou physique dans la période précédant le séisme de 2010. Mais actuellement, selon le gouvernement haïtien, environ un million de personnes, des adultes, des enfants et des adolescents, souffrent d’un handicap en Haïti. Ce cas s’avère extrêmement préoccupant. Ce sont des grandes victimes de marginalisation, de discrimination et d’exclusion de la société haïtienne. Or, elles sont très vulnérables. Pourtant leur complète intégration à la vie sociale, se révélerait au bénéfice de la société tout entière. »
Les jeunes personnes handicapées sont confrontées à des problèmes d’absence de systèmes de protection sociale, d’exposition particulière à la pauvreté, d’inégalités économiques, de la séparation avec leurs familles, de malentendus sur le handicap.
Haïti s’est adonnée plusieurs fois à l’affirmation de son engagement à l’avantage des droits des enfants handicapés par la ratification de la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son protocole facultatif (2009), la Convention interaméricaine pour l’élimination de toutes les formes de discrimination contre les personnes handicapées (2009) et par l’adoption d’une loi nationale pour l’intégration des personnes handicapées (comme il est stipulé à l’article 22.1 de la Loi portant sur l’Intégration des Personnes Handicapées, votée le 13 Mars 2012 en Haïti).
A suivre …
Régine Magloire SAINVILUS
Reconstruction (Réflexions en ce mercredi 15 janvier 2014)
Par Régine Magloire Sainvilus
INTEGRATION DES PERSONNES HANDICAPEES (SUITE d'en haut)
Un centre de référence pour personnes handicapées
Voici la photo de l’article 22.1 de la loi votée le 13 mars 2012. Elle porte sur l’Intégration des personnes handicapées dans l’encadrement en rouge :
Il y est écrit qu’ « Il sera créé dans chaque département du pays un Centre départemental des personnes handicapées (CDPH) placé sous la tutelle du Ministère des Affaires Sociales et du Travail.
Le CDPH, une institution publique et autonome, doit exercer une considérable fonction dans l’intégration de la population handicapée dans la société.
L’objectif du gouvernement pour les personnes handicapées est l’aménagement des centres d’orientation et de référence en direction des services spécialisés, de formation et de réadaptation.
Selon les initiateurs du projet, le CDPH mettra sa participation à la construction ou à la reconstruction de la personne souffrant d’handicap. Pour ce, il interviendra dans les diverses facettes de la vie de celle-ci. Une équipe pluridisciplinaire instruira les personnes handicapées voire leur entourage pour leur montrer comment se comporter vis-à-vis de ces dernières.
« Le Centre doit être une instance de référence dans chaque département qui devra faire connaître les besoins des personnes handicapées aux institutions concernées et assurer que les suivis soient faits », a opiné Maryse Jean Jacques du CES. Mme Jean Jacques est l’une des premières à travailler sur le projet aux côtés du BSEIPH (Bureau du Secrétaire d’Etat à l’Intégration des Personnes Handicapées).
Le début de l’exécution était prévu pour l’année 2014. Et effectivement le président est revenu sur cette question dernièrement.
Quelle bonne nouvelle de constater une meilleure prise en compte des personnes handicapées dans la société haïtienne et notamment des enfants et des adolescents handicapés ! C’est la représentation d’une opportunité de plus de développement national.
Espérons qu’il existera plus d’engagement civique et citoyen, plus de sens de responsabilité et de solidarité envers nos compatriotes handicapés. Ce qui ordonne la fin d’une logique de charité et de pitié logée trop fréquemment dans les esprits.
Régine Magloire SAINVILUS
Sunday, January 12, 2014
Où en est-on 4 ans après le séisme du 12 janvier 2010 en Haiti?
Où en est-on 4 ans après le séisme du 12 janvier 2010 en Haiti?
Par Carl Gilbert et Régine Magloire Sainvilus, étudiante en journalisme
Mots clés: Reconstruction, failles, prévention, développement, urbanisme, budget, déplacés, primature haitienne, assistance.
Aujourd’hui fait exactement quatre (4) ans depuis que le séisme du 12 janvier a opéré des dégâts en Haïti.
Le séisme de 2010 en Haïti a été un tremblement de terre phénoménal. Sa magnitude s’est située entre 7,0 à 7,3 compris. Il est survenu le 12 janvier 2010 à 16 heures 53 minutes, heure locale. D épicentre situé environ à 25 km de Port-au-Prince, la capitale d’Haïti, il a donné lieu à environ douze (12) secousses secondaires de magnitude 5,0 à 5,9 dans les heures suivantes. Un deuxième (2e) séisme dont la magnitude a été proche de 6,1 s’est réalisé le 20 janvier 2010 à 6 heures 3 minutes, heure locale. Par son foyer à 59 km à l’ouest de Port- au-Prince, il est survenu à moins de 10 kilomètres sous la surface.
De nombreuses victimes, morts, blessés et amputés, paralysés en sont résultés. A la date du 9 février 2010, 300 000 morts, 300 000 blessés et 1,2 million environ de sans-abris formeraient le bilan du jour. 95% à 99% des personnes mortes ont été tuées par des maisons en béton armé, des murs élevés situés dans la rue. La majorité des maisons qui sont tombées sont celles qui avaient été mal construites : soit pas suffisamment de poteaux, de fer, soit trop de poteaux et de fer! Les vibrations des engins lourds, camions ont provoqué l’éboulement d’édifices mal construits également et qui se sont effondrés par la suite L’enregistrement de 52 répliques d'une magnitude supérieure ou égale à 4,5 aurait été révélé par l’Institut géologique américain le 24 janvier. L’extraction de 211 rescapés des décombres a été effectuée par les équipes de secouristes sorties du monde entier. Les efforts des Haïtiens ont donc été renforcés par cette solidarité internationale. Les Haïtiens avaient dû eux-mêmes opérer des sauvetages de centaines de personnes, à mains nues la plupart du temps.
La catastrophe a affecté les structures et l’organisation de l’Etat haïtien : d’où une déclaration de l’état d’urgence après 3 jours sur l’ensemble du pays pour une période d’un mois. Le palais national et la cathédrale Notre-Dame de Port-au-Prince ont connu la destruction totale parmi d’autres bâtiments.
Les rénovations se font à pas de tortue.
Prévenir vaut mieux que guérir, dit l’adage. Il devrait être interdit de construire des édifices trop proches les uns des autres voire au dessus des autres. Ces contructions devraient toutes être publiées dans des bulletins locaux. Elles devraient toutes être connues de tous pour éviter des constructions les unes sur les autresautre ou trop proches les unes des autres. Les normes de construction parasismiques ne sont pas respectées. C’est seulement cette semaine qu’a eu lieu la première conférence discutant les constructions parasismique en Haiti. Jusqu'à présent, la majorité des haïtiens, quand ils veulent construire, ne font appel qu’à des « bosses en maçonnerie » au lieu de demander l’assistance d’ingénieurs bien informés sur les séismes.
Au point de vue urbanisme, il ne devrait pas être question que les maisons soient construites par des individus mais par des compagnies. Il suffit de regarder les mornes entourant la capitale pour constater que rien n’a changé concrètement dans le domaine de la construction des maisons.
Quid des déplacés ? Selon un récent rapport des Nations unies publiées le 30 septembre 2013, 171 974 personnes demeurent encore sur 306 sites temporaires, et les objectifs en matière de reconstruction ont été atteints dans une proportion de 13 %.
Le chercheur Paul Cliche, de l’Université de Montréal, a indiqué qu’ «On a fait des constructions d’abris temporaires. Il y en a 113 595 selon les données officielles. Comme on dit souvent en Haïti et dans certains pays du Sud, il n’y a rien de plus permanent que ce qui est temporaire», a-t-il ajouté au cours d’une entrevue téléphonique.
«Ce dont je me doute, c’est que les abris temporaires vont devenir des maisons permanentes. C’est quoi ça, en termes de dignité humaine?»
Dans la foulée du séisme, par dizaines de milliers, les sans-abri ont érigé des camps de fortune dans les villes dévastées par la catastrophe.
A propos des failles, une instance étatique devrait les surveiller, vérifier si elles sont actives, vu qu’il semble que beaucoup de failles de dimensions variées traverseraient le pays. Un budget devrait être créé à cette fin. Des sismologues ont été formés, ainsi que des géologues. Un budget fixe pour que des lectures des failles puissent être effectuées par le ministère de l’environnement a été par la suite planifié ainsi que des machines afin de prévenir les séismes et d’y remédier le plus possible. Des mesures préventives portant sur le sauvetage sont radiodiffusées de temps à autre. Malheureusement ces séances de sauvetage divulguées ne conviennent pas au pays, la plupart des gens, étant toujours effrayés à la pensée des secousses, les imaginant parfois tandis que d’autres se croyant pragmatiques les ignorent tout bonnement.
Et l’assistance est-elle « mortelle » comme le suggère le film du cinéaste Raoul Peck ? On est tenté de le dire. Qu’il s’agit de l’aide américaine ou de l’aide canadienne, diverses publications ont montré qu’elles sont entachées de manque de transparence, de « boite noire », c’est-à-dire qu’une partie de cette assistance est tombée ou bien dans un panier « sans fond » ou bien dans un coffre dont la clé est en dehors d’Haiti.
« À plus grande échelle, la question du développement économique du pays est également préoccupante, a relevé le chercheur associé au Réseau d’études des dynamiques transnationales et de l’action collective (REDTAC) de l’Université de Montréal. Ottawa oriente son aide vers le développement du secteur minier et de zones franches, un modèle économique qui maintiendra les citoyens du pays en situation de pauvreté, a prévenu M. Cliche. «C’est un développement qui est extraverti, qui a le regard vers l’extérieur, vers l’exportation. Qui va acheter les métaux et les vêtements qui sont faits en Haïti? Ce ne sont pas les Haïtiens», a-t-il expliqué.
La Primature haitienne a fait son bilan de l’année dernière sur son site et s’est donné pleinement un satisfecit quant à la reconstruction quatre ans après le séisme : « Laurent Lamothe a dressé un bilan positif des différentes réalisations de son gouvernement… Sept bâtiments publics sont en construction et des études sont déjà réalisées pour au moins cinq autres. « Selon le dernier rapport de l’OIM, nous passons de 1 500 000 déplacés en 2010 à 147 000 en 2013, a déclaré Laurent Lamothe. Nous sommes très satisfait de ce résultat.»
«...Plus de 40 bâtiments publics ont été détruits lors du séisme de janvier 2010. Dans le cadre de la reconstruction du pays, le gouvernement haïtien, grâce au fonds PetroCaribe, a mis une somme de 17 millions de dollars américains par bâtiment pour reconstruire ces différents édifices. La construction de la Villa d’accueil, la construction du ministère de l’Intérieur et des Collectivités territoriales, le chantier du ministère des Affaires étrangères et des Cultes, le chantier du ministère du Commerce et de l’Industrie, le chantier de construction des baraquements du CIMO sont parmi les travaux de construction en cours qui devront terminer, selon le Premier ministre, dans la première moitié de l’année 2014. « Nous avons terminé la première phase de la construction du village Lumane Casimir qui peut recevoir plus de 3 000 logements. Grâce à un financement vénézuélien, nous allons ajouter 2 500 logements à ceux déjà construits au village.» En termes d’infrastructures routières, le Premier ministre a annoncé la construction de deux tronçons de route au centre-ville de Port-au-Prince dans le cadre de la construction de la cité administrative. « Un contrat est signé avec la firme espagnole Euro Estudios pour les études de construction des rues Monseigneur Guilloux et du Champ de Mars, a-t-il fait savoir. La firme a été autorisée à démarrer la deuxième phase des travaux au cours de l’été si le processus d’expropriation est complété.»
Mais à voir les diverses manifestations qui émergent dans les grandes villes du pays de manière soutenue, on est à même de se demander si les masses sont aussi satisfaites que le gouvernement. Et la question des élections est une épine au pied et du gouvernement haitien et de la communauté internationale qui mise, avec un petit élan d’optimisme, sur ces élections pour faire croire au monde en général et aux investisseurs en particulier que la démocratie est bel et bien partie et qu’Haiti « is really open for business » 4 ans après le séisme dévastateur.
Mais c’est un élan d’optimisme qui ne prend pas en considération, quatre ans après, les taux croissants de mortalité du choléra importé et de ceux infectés avec la maladie* outre le verdict 168-13 dominicain qui « dénationalise » plus 200 000 individus d’ascendance haïtienne. Un verdict qui risque toutefois d’envenimer les relations haitiano-dominicaines.
* « …Le pays n’est pas non plus sorti de l’auberge en ce qui a trait à la situation sanitaire: l’épidémie de choléra fait toujours des ravages, et l’ONU estime à 2,2 milliards $ le montant nécessaire à son éradication. À ce jour, seulement 180 millions $ ont été engagés, d’après les informations contenues dans le rapport de Paul Cliche. »
Carl Gilbert avec la collaboration et contribution de l’étudiante en journalisme Régine Magloire Sainvilus, ce 12 janvier 2014
Friday, January 10, 2014
Tuesday, January 7, 2014
Bilan des projets communaux en Haiti
Thursday, January 2, 2014
Diminution de l'exportation des oeufs de la Dominicanie vers Haiti
Haiti Inflation Rate
HAITI INFLATION RATE
The inflation rate in Haiti was recorded at 4.20 percent in October of 2013. Inflation Rate in Haiti is reported by the Banque de la République d'Haiti. Inflation Rate in Haiti averaged 12.99 Percent from 2003 until 2013, reaching an all time high of 42.46 Percent in September of 2003 and a record low of -4.70 Percent in September of 2009. In Haiti, the inflation rate measures a broad rise or fall in prices that consumers pay for a standard basket of goods. This document contains -
Haiti Inflation Rate - actual values, historical data, forecast, chart, statistics, economic calendar and news. 2014-01-03
Source: tradingeconomics.com
LIST BY COUNTRY RELATED NEWS Haiti Inflation Rate at 4.20 Percent The inflation rate in Haiti was recorded at 4.20 percent in October of 2013. Inflation Rate in Haiti is reported by the Banque de la République d'Haiti. Haiti Interest Rate at 7.00 Percent The benchmark interest rate in Haiti was last recorded at 7 percent. Interest Rate in Haiti is reported by the Banque de la République d'Haiti. Haiti Remittances at 1988.00 USD Million Remittances in Haiti decreased to 1988 in December of 2012 from 2057 in December of 2011. Haiti Balance of Trade at -132.85 USD Million Haiti recorded a trade deficit of 132.85 USD Million in March of 2013. Balance of Trade in Haiti is reported by the Banque de la République d'Haiti. Haiti Exports at 75.15 USD Million Exports in Haiti increased to 75.15 USD Million in March of 2013 from 65.34 USD Million in February of 2013. Exports in Haiti is reported by the Banque de la République d'Haiti. Haiti Imports at 208.80 USD Million Imports in Haiti decreased to 208.80 USD Million in March of 2013 from 222.39 USD Million in February of 2013. Imports in Haiti is reported by the Banque de la République d'Haiti. Haiti GDP per capita at 459.70 USD The Gross Domestic Product per capita in Haiti was last recorded at 459.70 US dollars in 2012. The GDP per Capita in Haiti is equivalent to 4 percent of the world's average. GDP per capita in Haiti is reported by the World Bank. Haiti GDP per capita PPP at 1058.36 USD The Gross Domestic Product per capita in Haiti was last recorded at 1058.36 US dollars in 2012, when adjusted by purchasing power parity (PPP). The GDP per Capita, in Haiti, when adjusted by Purchasing Power Parity is equivalent to 5 percent of the world's average. GDP per capita PPP in Haiti is reported by the World Bank. Haiti GDP at 7.84 USD Billion The Gross Domestic Product (GDP) in Haiti was worth 7.84 billion US dollars in 2012. The GDP value of Haiti represents 0.01 percent of the world economy. GDP in Haiti is reported by the The World Bank Group. Haiti Population at 10.41 Million The total population in Haiti was last recorded at 10.4 million people in 2012 from 3.9 million in 1960, changing 169 percent during the last 50 years. Population in Haiti is reported by the World Bank. Source:http://www.tradingeconomics.com/
Key Sectors for Business in Haiti
Key Sectors in Haiti
Economic activity in Haiti has picked up over the last years and prospects appear good for continued growth and investment opportunities, as the country shifts its focus from relief to reconstruction. According to the World Economic Forum, Haiti possesses the economic fundamentals that could enable it to become a vibrant marketplace by 2030 through a combination of smart public and engagement of the national and international private sectors. In order to stimulate economic growth, the Haitian Government, through the Presidential Working Group on Competitiveness (GC), identified six key investment sectors that could create large number of jobs, increase productivity and create numerous micro, small and medium enterprises (SMEs), the backbone of any economy. Therefore, the Haitian Government, with the help of CFI, has been focusing its efforts on attracting investments in the following key sectors: Agribusiness, Construction, Energy, Manufacturing, Telecommunications and Tourism.
L'argent a son importance pour la démocratie
"L'argent a son importance pour la démocratie tout
simplement parce que l'essentiel des activités politiques
dans un régime démocratique ne pourrait se réaliser sans
lui."
"Money matters for democracy because much
of democratic political activity simply could not
occur without it."
D'où la rasion de ce nouveau site de Haiti Connexion Network avec le nouvel an, pour vous apporter des informations sur l'économie et les finances tant en Haiti que dans le monde
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